Elizabeth Strider. Si si, c'est bien Effy

**Effy Strider** Mer 12 Oct - 8:49

\Prénom/

Elizabeth

\Nom/

Strider

\Surnom/

Effy, Eff

\Âge/

16 ans, bientôt 17

\Métier/

Lycée, Première

\Race/

Futur Gardienne

\Don/

Peut charmer les gens, les manipuler sans difficultées

\Relations/

Demi-sœur de Cara Strider.

\Avatar/

Kaya Scodelario <3

Elizabeth Strider. Si si, c'est bien Effy 430163tumblrkvu9ro7nSO1qzdll0o1500

\Physique/
Effy est un rêve. Elle est incroyablement belle. Et incroyablement mince, aussi. On voit rarement des personnes aussi fines. Ses jambes son agiles et rapides, aussi fines que le reste de son corps. Des jambes qui sont souvent aux vus de tous.
Ses bras son longs et anguleux, ses poignets recouverts de bracelets qui tintent au moindre mouvement, et ses doigts sont longs et osseux.
Son cou est gracieux, son nez fin carré, tout comme ses lèvres roses. Son visage est recouvert de légères tâches de rousseurs, à peine visibles de loin. Ses cheveux bruns sont longs et naturellement ondulés, aussi doux que sa peau. Et, enfin, il y ses yeux.
Les yeux d'Effy sont magnifiques. Recouverts de longs cils noirs, ils sont la seule chose qui vous révélera la véritable Effy. Ses pupilles sont d'un bleu-gris métallisé brillant qui vous fait plonger dans une faille sans fond. Les yeux sont une fenêtre sur l'âme, hein ? Et bien celle d'Effy doit être incroyable...
C'est une chose de vous dire à quoi elle ressemble, mais ces habits sont à eux-seuls une part de sa personnalité. Effy porte des vêtements très rock, et aussi très courts. En général, elle porte un t-shirt XXL sombre aux motifs étranges ou une tunique courte et voluptueuse agrémenté d'un short tellement court qu'on le voit à peine sous son haut et, parfois, d'un collant en résille ou simplement déchiré. Quand le beau temps n'est pas au rendez-vous, Effy à toujours sa veste en cuir noir à portée de main. De même que ses bottes grises qu'elle mets quasiment tout les jours. Ses colliers, eux aussi, sont partis intégrantes de sa tenue. Et ils sont surtout tellement nombreux qu'il serait dur de tous les comptés...

Elizabeth Strider. Si si, c'est bien Effy 658991tumblrlmtrsieqzO1qc4f1bo1500

\Caractère/
Tout le monde aime Effy. C'est un fait aussi évident que 2 et 2 font 4.
Effy n'aime personne. Ça aussi c'est évident. Les gens ne sont que des objets, on les utilise comme bon nous semble et puis on les jette. Encore faut-il savoir les manipuler, art dans lequel la jeune fille excelle.
Effy est une Reine des Abeilles. Les gens sont naturellement attirés par elle, et on lui donne le commandement tout aussi naturellement. Personne ne lui résiste. Elle est une maladie incurable.
Effy est plus que perspicace. Quelques secondes à vous scruter lui suffit pour connaitre vos moindres pensées. Calculatrice, elle sait comment coincer quelqu'un sans efforts. Effy est intelligente.
Effy est cynique. Elle voit le monde qui l'entoure avec une sorte de détachement blasé, presque malheureux.
Effy aime le silence. Elle ne parle pas. Ou plus... On ne remarque le silence qu'après qu'il est été percé.
Enfin, Effy aime le danger. Sexe avec n'importe qui, drogues en tout genre, alcool à foison, fêtes douteuses... Personne ne connait réellement Effy, mais une chose est certaine : Effy aime jouer avec le feu. Littéralement.

Elizabeth Strider. Si si, c'est bien Effy 1384491268926833837f

\Histoire/
Quand Effy est née, elle a de suite été entourée d'une famille unie et aimante. Il y avait son père, fonctionnaire assez bien payé pour se payer une belle maison en plein milieu de la campagne, et dont la jeune fille était le résultat de son deuxième mariage. Il y avait sa mère, qui a personnellement choisi son prénom en l'honneur de sa grand-mère, qui aurait apparemment les même yeux qu'elle. Et il y avait Cara, sa demi-sœur.
A la naissance d'Effy, Cara avait un an. Même alors, elle ressemblait trait pour trait à leur père. Les mêmes cheveux dorés, les mêmes yeux noisettes pétillants de vie, les mêmes fossettes sur les joues... On ne pouvait douter qu'ils avaient un lien de parenté. Effy s'était souvent demandée à quoi ressemblait la mère de Cara. Son père avait dit à sa demi-sœur, une fois qu'elle fut en âge de se poser des questions sur son autre parent, qu'elle s'appelait Lucie. C'était la seule chose qu'elles savaient sur la mère de Cara. Son prénom.
Effy, elle, ne ressemblait ni à son père, ni à sa mère. Celle-ci, avec ses cheveux châtains clairs et ses yeux bruns, pouvait plus facilement être prise pour la mère de sa sœur que pour la sienne.
Dès très jeune, Effy ne s'est plus sentie à sa place dans sa famille. Vers l'âge de six ans, elle a commencée à s'enfermer dans le mutisme. Personne ne parut s'en apercevoir, ou du moins, personne ne lui fit remarquer. Quelques mois plus tard, elle devait restée seule à la maison le temps d'une soirée. Sa sœur, avait été invitée chez des amies pour la nuit, et ses parents avaient décidés de s'offrirent une soirée dans le meilleur restaurant de la ville d'à côté à l'occasion de leur anniversaire de mariage. Ils étaient partis en retard et, dans leur cavalcade bruyante, son père avait oublié son briquet.
Elle était seule et le silence régnait dans la maison. Pas un bruit ne venait troubler la quiétude de cette chaude soirée d'été. Pourtant, les voix se succédaient, toujours aussi incompréhensibles. Les chuchotements glacés interrompus par des cris imprévus ne dérangeaient presque plus la jeune fille; elle avait l'habitude. Parfois, quelques mots, des morceaux de phrases se détachaient du reste de ces discours. Mais ça ne lui permettait jamais de comprendre le sens des paroles. Et personne ne devait l'aider. Elle était forte. Ses voix ne signifiaient rien.
Effy était restée une bonne demi-heure devant le briquet de son père, cet objet qui tenait dans le creux de la main, et qui, malgré tout, détenait une puissance destructrice que tous craignaient. Qui pouvait tuer. Elle finit par le prendre, monta dans sa chambre, et prit un des bouchons de ses stylos à billes. Elle s'assit, observa le petit bout de plastique une bonne minute et, tout doucement, approcha le briquet de celui-ci. Elle appuya sur la roulette et une flamme, à peine plus grosse que son petit-doigt, jaillit. Dès lors, les voix s'éteignirent. D'un seul coup, sans prévenir. Le silence la surprit tellement plus que le bruit qu'Effy en lâcha presque le briquet. Mais elle le tenait bien fermement, cette chose qui pouvait faire taire tout ce qu'elle entendait.
Doucement, la jeune fille le mit en contact avec une des extrémités du bouchon et l'observa se consumer lentement. Au bout d'une trentaine de secondes, elle souffla, et la flamme disparut.
A partir de cette nuit-là, tout s'enchaîna très vite.